Coeur De Pirate - Hôtel Amour

Tłumaczenie:


Słowo z Hotelu Amour:
To była recenzja w pokoju 503
Ściany powiedziały mi, że mogę opuścić ten czas
Ale powiedz mi jeszcze raz tę modlitwę
Jedną, która przypomina nam, że byliśmy silni wczoraj.

Widziałam mężczyzn pękających przy mnie
Lub nie wiedzących, jak mnie kochasz
Stali się jak iskry pyłu
Ci, którzy wychodzą, gdy stają się realne.

Lecz spać, przynajmniej tej nocy
I marzenie o przezwyciężeniu nudy
W wojnie, która wypycha nas z dala od brzega
I zakończy się w ramionach innych.

Te historie, gospodarz miasta zamarzł na śmierć
Tolga wita nas po raz ostatni
Ale powiedz mi jeszcze raz tę modlitwę
Poprzez muzykę, która dzieli moje serce ze szkła

Lecz spać, przynajmniej tej nocy
I marzyć o nieskończoności
W wojnie, która wypycha nas z dala od brzega
I zakończy się w ramionach innych.

Tekst piosenki:


Parole de Hotel Amour:
On s’est revus dans cette chambre 503
Les murs me disent que tu quitteras cette fois
Mais redis-moi encore cette prière
Celle qui nous rappelle qu’on était forts hier

J’ai vu des hommes se fendre à mes côtés
Ne sachant plus ni comment m’aimer
Ils ne devinrent que poussière d’étincelles
Celles qui s’éteignent quand elles deviennent réelles

Mais dors, au moins cette nuit
Et rêve de vaincre l’ennui
D’une guerre qui nous pousse loin des côtes
Et finir aux bras des autres

Cette ville accueille des histoires mortes de froid
Tolga nous salue encore une dernière fois
Mais redis-moi encore cette prière
À travers la musique qui fend mon coeur de verre

Mais dors, au moins cette nuit
Et rêve de l’infini
D’une guerre qui nous pousse loin des côtes
Et finir aux bras des autres

(Merci à Marie pour cettes paroles)
On s’est revus dans cette chambre 503
Les murs me disent que tu quitteras cette fois
Mais redis-moi encore cette prière
Celle qui nous rappelle qu’on était forts hier

J’ai vu des hommes se fendre à mes côtés
Ne sachant plus ni comment m’aimer
Ils ne devinrent que poussière d’étincelles
Celles qui s’éteignent quand elles deviennent réelles

Mais dors, au moins cette nuit
Et rêve de vaincre l’ennui
D’une guerre qui nous pousse loin des côtes
Et finir aux bras des autres

Cette ville accueille des histoires mortes de froid
Tolga nous salue encore une dernière fois
Mais redis-moi encore cette prière
À travers la musique qui fend mon coeur de verre

Mais dors, au moins cette nuit
Et rêve de l’infini
D’une guerre qui nous pousse loin des côtes
Et finir aux bras des autres